Jeudi 15 mars 2018 à 12h30 douvan tribinal lapwent : Procès d’Elie DOMOTA
Publié le 26/02/2018
9 mars 2018 à 8h devant le Tribunal de Basse-Terre : Justice pour Damville (Procès TCSV)
Publié le 25/02/2018
26 février 2018 : Solidarité avè Lionel Chouro douvan tribinal lapwent
Publié le 25/02/2018
Vendredi 16 février 2018:Sanblé kont réprésyon é profitasyon
Publié le 11/02/2018
Conférence débat du LKP Vendredi 16 octobre 2015 - 18h30 devant le cimetière du Moule
Publié le 9/10/2015
Mars 1975 - Mars 1995, voilà déjà 20 ans qu’un important mouvement ouvrier et paysan a secoué l’industrie sucrière et toute la Guadeloupe. Ce mouvement de grève a contribué à bouleverser les données sociales du pays et redéfini les contours du corps social de la Guadeloupe.
Un homme, le Père Chérubin CELESTE a pris position d’une manière inhabituelle par une grève de la faim alors que la grève qui durait déjà près de deux mois s’essoufflait. Il a ainsi joué un rôle déterminant dans son dénouement...
Le lundi 5 avril 1971, vers 21 heures, Charles BALAGNE revient d’une réunion syndicale avec des camarades. Alors qu’il s’achemine vers sa demeure, une voiture surgit de la nuit, le coince sur un ponceau et le tue net. Est-ce un accident ?
Au lendemain des masscres de Mé 67 un petit groupe de militants du GONG se constitue derrière deux hommes : "Jean" & "Max"... A l’occasion de la table-ronde organisée le samedi 23 mai sur les évènements de mai 67, "Jean" est revenu sur le long combat qui a abouti en 2009 au mouvement de 44 jours mené par le LKP.
Après le massacre à Pointe-à-Pitre au mois de mai 1967 par les forces françaises de plus de 80 Guadeloupéens, Sonny Rupaire prend la décision de rentrer clandestinement en Guadeloupe en 1969, sous le pseudonyme de « Camarade Max ». En 1971, il participe à la création de l’U.T.A (Union des Travailleurs Agricoles de Guadeloupe) : le premier syndicat guadeloupéen non rattaché à une centrale française.
En 1983 et 1985, Maître Roland EZELIN, devenu ensuite Bâtonnier, est lourdement sanctionné par la justice française pour avoir défilé sous une banderole fustigeant la justice coloniale ; lors d’une manifestation publique destinée à protester contre deux décisions judiciaires condamnant trois militants à des peines d’emprisonnement et d’amende pour dégradation de bâtiments publics...
Jeune lycéenne, Suzie DAHOMAY intègre les rangs du Cercle Culturel des Etudiants Guadeloupéens (CCEG) dans les années 65 - 67 où s’amorce l’affirmation de la personnalité guadeloupéenne dans la jeunesse.
Un jour j’ai ramassé quelques morceaux de bois avec lesquels j’ai fabriqué des cannes qui servent d’appui et que les personnes âgées utilisent généralement, je les ai offertes et j’ai été félicité de l’initiative.A d’autres occasions,je trouvai des morceaux beaucoup plus petits et je me posai la question : que faire avec ?
Femme d’engagement, militante active, mère, nous avons voulu faire plus ample connaissance avec cette employée de commerce qui voue une grande part de sa vie à L’UGTG.
Michel MADASSAMY est né un 27 février 1963 aux ABYMES. Il est le neuvième d’une famille de douze enfants, élevés par une mère au foyer soutenue dans ses responsabilités par un père qui fut chauffeur de direction à l’usine de Beauport. Après s’être vite rendu compte de l’étendue de la vacuité idéologique, de l’absence totale d’une véritable démarche syndicale de la part de bon nombre de dirigeants de la CSTG, organisation à laquelle il appartenait ; Michel MADASSAMY participe à la création du syndicat UTPP-UGTG.