Meeting lundi 06/02/2023 à 19h au Palais de la Mutualité
Publié le 5/02/2023
Meeting d’information jeudi 10 mars 2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
Meeting d’information mardi 8 mars2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
Sanblé lundi 14 février 2022 -18 h douvan Simityè Moul
Publié le 10/02/2022
Sanblé samedi 12 février 2022 à 9 h douvan lanméri Polwi
Publié le 10/02/2022
Les revendications du mouvement Occupy Wall Street sont justes et représentent les intérêts de l’écrasante majorité de la population. En préservant son indépendance politique, en restant dans les rues – et en refusant d’être récupéré par l’un ou l’autre des deux partis dominants - ce mouvement peut inspirer des millions de gens ordinaires à travers le pays et devenir vraiment massif. Son nombre sera sa force. Les gens en Amérique éprouvent de plus en plus de ressentiments contre un système politique qui les a abandonnés. L’argent des compagnies a pénétré les partis, tant Démocrate que Républicain. Par conséquent, les politiciens de ces deux partis avaient pris l’habitude de baisser les impôts sur les sociétés et des riches, alors même qu’ils licenciaient des fonctionnaires, sabraient les budgets de l’enseignement public, des services médicaux et des services sociaux, menaçaient la Sécurité Sociale, l’Aide médicale et l’Assurance maladie, et ne se pressaient guère pour stopper la dévastation de l’environnement.
La Cour suprême des Etats-Unis a rejeté mardi la demande de procureurs de Philadelphie réclamant que Mumia Abu-Jamal, icône internationale de la lutte contre la peine capitale, soit à nouveau condamné à mort alors que la sentence doit être réexaminée prochainement. La peine de mort de ce Noir américain, qui clame son innocence depuis près de 30 ans pour le meurtre d’un policier blanc, a été suspendue en avril par la cour d’appel fédérale de Pennsylvanie (est). Cette dernière a ordonné de nouvelles audiences afin de déterminer s’il doit être condamné à la peine capitale ou à la prison à vie sans possibilité de sortie. Les neuf juges de la Cour suprême ont refusé de se saisir du recours formulé par des procureurs et responsables des services pénitentiaires de Pennsylvanie, sans autre explication, laissant à nouveau une juridiction inférieure se prononcer. En janvier 2010, la plus haute Cour des Etats-Unis avait déjà renvoyé le dossier devant la cour d’appel de Pennsylvanie.
Le problème des multinationales perçues comme moins « entrepreneuriales », plus « cool » et éthiquement – presque spirituellement – meilleures que les autres concerne beaucoup de compagnies associées à Internet de manière si étroite qu’on les identifie avec le réseau lui même. Un cas typique : Apple. (...) En 2009, une vague de suicides parmi les ouvriers de Foxconn a fait scandale – avant d’être enterrée sous des tonnes de sable et de silence. Dans les usines de cette multinationale chinoise sont assemblés iPad, iPhone et iPod [4]. En réalité, les morts avaient commencé avant, en 2007, et ont continué par la suite (le dernier suicide certain remonte à mai dernier ; un autre ouvrier est mort en juillet dans des circonstances suspectes). Au total, une vingtaine d’employés se sont tués. Des enquêtes de diverses origines ont indiqué parmi les probables causes les rythmes de travail infernaux, le manque de relations humaines à l’intérieur de l’usine et les pressions psychologiques émanant du management. Quelquefois, c’est même allé bien plus loin que des pressions psychologiques : le 26 juillet 2009, un salarié de 25 ans dénommé Sun Danyong, s’est jeté dans le vide après avoir subi un passage à tabac par une équipe de nervis de l’entreprise. Sun était soupçonné d’avoir volé ou perdu un prototype d’iPhone. Quelles solutions a adopté Foxconn pour prévenir de telles tragédies ? Eh bien, l’usine a notamment installé des « filets anti-suicide »
L’intersyndicale (CGT-Ma, Cisma-CFDT, Solidarité mahorais et le Collectif des citoyens perdus) associée à des associations de consommateurs (Ascoma, Afoc) se plaint d’un manque de concurrence qui tire les tarifs vers le haut, et demande au patronat des grandes surfaces, ainsi qu’aux services de l’Etat et du département un engagement écrit sur une baisse des prix des produits de base, et notamment des cartons de découpe de volailles vendus presque deux fois plus cher que dans l’Hexagone, des bouteilles de gaz trois fois plus coûteuses, etc.
Jusqu’à quand les soldats étrangers resteront-ils en Haïti ? Ils sont arrivés pour stabiliser et pour aider, mais ils sont là depuis sept ans petit-déjeunant et déstabilisant ce pays qui ne les veut pas. L’occupation militaire d’Haïti coûte aux Nations Unies plus de huit cents millions de dollars par an. Si les Nations Unies destinaient ces fonds à la coopération technique et à la solidarité sociale, Haïti pourrait recevoir une bonne impulsion au développement de son énergie créatrice. Et ainsi se sauverait de ses sauveurs armés, qui ont une certaine tendance à violer, tuer et à offrir des maladies fatales. Haïti n’a besoin de personne pour venir multiplier ses calamités. Il n’a pas besoin non plus de la charité de qui que ce soit.
Rien n’est comme cela devrait être en Guyane française. Elle est française, mais ce n’est pas la France. C’est la Guyane mais tous les symboles le nient. C’est un lieu de haute technologie, mais il n’y a pas de routes ni de transport public. 35 % de la population est au chômage absolu mais les prix ce sont ceux de l’Ile-de-France. Essayons de comprendre pourquoi. Sous une apparence de normalité, la Guyane française est une destination privilégiée pour les nouveaux « colons » français, qui viennent travailler pour quelques années dans l’administration ou dans le Centre Spatial Guyanais (qui est en réalité Européen ou à disposition Russe, mais non guyanais) avec des conditions économiques magnifiques. C’est aussi une île dans laquelle ils vivent des noirs ou des asiatiques dans une somnolence nourrie par la politique des aides de Paris et par la promesse d’être Européens.
Mardi 4 octobre 2011, les guadeloupéens ont pu entendre les propos du représentant de la MINUSTAH sur les ondes de Guadeloupe 1ère au journal de 7 heures. Face à la contestation grandissante contre la présence des troupes de l’ONU sur le sol haïtien, le représentant de la MINUSTAH est contraint d’intervenir pour tenter de justifier l’injustifiable.
En effet les travailleurs, la jeunesse, le peuple d’Haïti, sont confrontés régulièrement aux exactions de ces soldats depuis 8 ans : Répression contre les travailleurs et leurs syndicats - Violence contre la jeunesse et les étudiants - Viols et incitation à la débauche - Introduction du choléra
Alors que le premier ministre d’Antigua et Barbuda a exigé à L’ONU des Réparations, à Saint-Kitts & Nevis, les membres d’une petite communauté Baptiste se sont laissés convaincre par des anglais vivant sur l’île d’ériger un monument en mémoire de John NEWTON. Présenté comme un abolitionniste, ce dernier était en fait un colon esclavagiste qui s’est converti tardivement aux idées émancipatrices et au sacerdoce afin d’éviter la ruine.
Ci-après, deux lettres traduites par une jeune étudiante guadeloupéenne : la première, d’un habitant de Saint Kitts & Nevis à l’attention de la population de l’île ; la seconde, un courrier adressé au premier ministre de l’île par le militant Gilbert LEONARD.
Une délégation de Namibiens des tribus héréro et nama, ont récupéré 20 crânes de leurs aïeuls à Berlin, ce 30 septembre 2011. La cérémonie de remise s’est déroulée à l’hôpital universitaire de la Charité. C’est la première fois qu’une collection de crânes en possession d’un musée allemand est rendue. L’événement rouvre un épisode des plus sombres de l’histoire coloniale du pays. L’Allemagne s’implante dans ce qui deviendra le Sud-Ouest africain allemand (Namibie) à partir de 1883. Un an plus tard, le gouvernement allemand installe un gouvernorat. Le poste est occupé par un homme que son fils rendra macabrement célèbre, le Dr Heinrich Goering. Le fils du gouverneur Heinrich Goering est Hermann Goering, ministre de l’Air d’Adolf Hitler. Condamné à mort à Nüremberg en raison de son implication dans les crimes des nazis, il se suicide en prison en octobre 1946.