Ce lundi 25 mars, ce qui devait arriver est arrivé :

 Un aéroport international sans éclairage, sans sécurité

 Des milliers d’usagers et de travailleurs en danger

 Des milliers de voyageurs bloqués

 Des dizaines de vols annulés

Et pourtant, ce genre d’incident n’est pas nouveau et visiblement les gestionnaires de l’aéroport n’ont pas tiré les leçons de l’épisode précédent.

Ainsi, en octobre 2012, pendant plus de trois heures, l’aéroport a été plongé dans le noir le plus complet. Aucun groupe électrogène n’a pris le relais. AYEN !

Au contraire, ce sont les travailleurs qui ont été menacés et sanctionnés pour avoir dénoncé ces manquements et insuffisances et avoir refusé de travailler dans des conditions remettant en cause les règles de sécurité et par la même la vie des usagers.

L’ULTEA-UGTG exige la mise en oeuvre de vrais moyens pour garantir la sécurité des travailleurs et des usagers au sein de l’aéroport.

RESPÉ POU TRAVAYÈ – RESPÉ POU IZAJÉ !

Le Secrétaire Général
Tony MAES

Pointe-à-pitre, le 25/03/13