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Nous l’intersyndicale ULTEA-UGTG - CGTG - CFDT des entreprises de l’aéroport Pôle Caraïbes, sommes profondément consternés par la déclaration sans précédent de la situation sociale au sein de l’aéroport.
A la société BRINKS multinationale américaine, le droit du travail est piétiné avec l’aval des autorités coloniales de ce pays, nos camarades délégués syndicaux de ULTEA-UGTG - CGTG - CFDT sont traduits devant les tribunaux suite à une plainte du fantoche LAMIC et de ces valets parce qu’ils réclament la justice coloniale.
A la société INTERPROP, entreprise de nettoyage liquidée par un patron malfrat nommé HATCHI, les 120 salariés sont dans l’expectative : cette situation résulte de l’inertie des coquins affairistes de la commission d’appel d’offres de la CCI qui tergiverse avec des arrières pensées magouilleuses.
Sur la piste aéroportuaire, une barre de fer s’est détachée de la passerelle télescopique à cause d’un mauvais entretien du matériel ce qui a failli coûter la vie d’un agent d’Air France. Cet évènement démontre une gestion désastreuse des équipements aéroportuaires.
A la SSLIA, nos valeureux camarades pompiers de l’aéroport pour faire appliquer le droit, ont eu l’audace de braver les quatre zélés poltrons béni oui-oui pétris de servilités que sont les MALPEL, BIEVRE, BOUSSARDO, BABOULAL, dont trois déguisés en PELAGE agissant en service commandéà la sole de Man KOURY.
Lè ou mako é ou pa konsyan kè ou mako, sa dézolan...
Cette situation doit interpeller la population Guadeloupéenne et plus singulièrement les travailleurs.
L’aéroport Pôle Caraïbes ne doit pas être on gad manjé pour le clan de la famille KOURY et les sbires du bureau de la CCI ; parce qu’il a été financé avec les deniers des Guadeloupéens.
L’ensemble des travailleurs de cette plate forme aéroportuaire doit amplifier la mobilisation pour faire reculer l’ignominie de ces mafieux et faire triompher l’ensemble des revendications des travailleurs grévistes.
Abymes, le 14 janvier 2009
L’intersyndicale ULTEA-UGTG - CGTG - CFDT