Le 18 novembre 1985, le jeune lycéen Charles Henri SALIN est tué de trois balles de pistolet-mitrailleur par Michel MASS, 42 ans, maréchal chef des logis de la gendarmerie. Dans les semaines qui suivent Michel MAAS retourne en France où il reçoit une promotion (ainsi que les honneurs et la décoration qui l’accompagne dans ces milieux là)...
En dépit des obstructions et des mensonges du procureur DUPUY, l’affaire, délocalisée, est jugée du 9 au 11 mai 1990 par la cour d’assises de Paris pour "coups, blessures, voies de fait ayant entrainé la mort sans intention de la donner". Reconnu coupable, il sera pourtant acquitté...
A l’énoncé du verdict, "les parents, les frères et sœurs du jeune Salin, écrit le chroniqueur judiciaire du Monde ont longuement applaudi par dérision (Cf. Maurice PEYROT - Le Monde - 13.05.90 : "Après la mort d’un jeune Guadeloupéen - L’adjudant Maas jugé coupable, est acquitté").
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