KONFERANS, LYANNAJ é MEETING èvè Lé REZISTAN - Jeudi 27 Juin 2024
Publié le 24/06/2024
Meeting Solidarité KANAKY mardi 11 juin 2024
Publié le 10/06/2024
Meeting lundi 06/02/2023 à 19h au Palais de la Mutualité
Publié le 5/02/2023
Meeting d’information jeudi 10 mars 2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
Meeting d’information mardi 8 mars2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
Il n’est plus admissible aujourd’hui de se limiter aux éternels constats repris en cœur par les politiques, les chefs d’entreprise, les organisations socioprofessionnelles, les différentes missions et études : « La Guadeloupe va mal, les entreprises sont fragilisées par le poids des charges sociales et les grèves à répétition ; la jeunesse n’a pas de repères ; les parents ont démissionné ; l’état ne tient pas compte de nos spécificités, etc. »
Toute une série de discours de capitulation et de mendiant, qui ont depuis les 50 dernières années, généralisé l’assistanat, l’irresponsabilité et surtout permis à des affairistes de s’installer et de grappiller les subventions que les différents gouvernements de la France ont instituées en politique de développement.
Il convient résolument de dire la vérité, vérité constamment attestée par les chiffres mais surtout exprimée par les masses populaires à travers leur lutte, par la jeunesse dans son désarroi, par cette violence quotidienne dans les rapports sociaux.
A l’instar de l’ensemble de la Caraïbe, les Antilles françaises sont confrontées à une forte épidémie de VIH/sida caractérisée notamment par le dépistage tardif de l’infection. En Guadeloupe & à Saint-Martin,1489 personnes vivant avec le VIH dont 22 enfants sont suivies. Au 31/12/2007, 50 % des cas de sida diagnostiqués depuis le
début de l’épidémie sont toujours en vie.
Le tourisme guadeloupéen a subi au cours de son histoire de profondes mutations qu’il est important d’analyser pour comprendre l’ampleur des changements observés aujourd’hui dans cette destination. Les retombées économiques du tourisme en Guadeloupe sont limitées puisque, pour une dépense touristique évaluée en 2005 a 285 millions d’euros soit 3,8% du PIB, le tourisme de séjour ne contribue qu’à hauteur de 5% du PIB total du Département et ne représente que 4,6% de la masse salariale et de l’emploi salarié direct et induit de l’archipel.
La région de Capesterre qui était un bassin cannier florissant dans les années 50-60 voit renaître la culture de la canne sur son territoire en lieu et place de surfaces de bananes...