KONFERANS, LYANNAJ é MEETING èvè Lé REZISTAN - Jeudi 27 Juin 2024
Publié le 24/06/2024
Meeting Solidarité KANAKY mardi 11 juin 2024
Publié le 10/06/2024
Meeting lundi 06/02/2023 à 19h au Palais de la Mutualité
Publié le 5/02/2023
Meeting d’information jeudi 10 mars 2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
Meeting d’information mardi 8 mars2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
On assiste donc à une grave remise en cause des libertés syndicales, dont font pour l’instant les frais les syndicalistes de l’UGTG Charly Lendo, José Naejus, Denis Dorvillius, ou Gaby Clavier, mais il faut savoir que cette nouvelle arme est utilisée par le gouvernement à l’encontre de tous ceux qui osent s’opposer à lui, à commencer par les faucheurs volontaires emmenés par José Bové, les manifestants anti-CPE ou ceux contre la réforme des retraites, etc. Aux Antilles, cette mesure a une résonance historique particulière. Elie Domota établit un parallèle avec le Code Noir...
Un héros. Le mot est peut-être un peu fort, emphatique sans doute. Mais il n’y en a pas d’autre. La venue samedi d’Élie Domota, son premier déplacement en métropole depuis le début de la crise sociale en Guadeloupe, a déplacé à l’agora une foule aussi enthousiaste que compacte. Une heure plutôt, au stand des Amis de l’Huma, les ouvriers de Continental citaient déjà le leader du Liyannaj Kont Pwofitasyon (LKP) : « Si ensemble nous luttons, ensemble nous gagnerons ! » À 18 h 30, en écho, Élie Domota, accompagné de syndicalistes de Nouvelle-Calédonie, a exprimé sa solidarité « avec tous les travailleurs français », et a annoncé de nouvelles mobilisations en Guadeloupe.
Ce qu’Élie Domota incarne plus que tout, à l’échelle locale et internationale, c’est la démonstration « en acte » que le champ des possibles est toujours ouvert tant qu’on ne l’a pas laissé se refermer et mourir de lui-même. Ce qui sous-entend que la liberté du LKP, ici, c’est la perspective de créer ensemble, de rendre bien concret le concept de « rêve générale » qui s’affiche partout dans les meetings de gauche et les manifestations. Ce rêve à reconduire, qui sans nul doute aurait été celui de Jean Jaurès, c’est le refus obstiné, naïf et précieux de croire que l’inégalité et l’injustice s’installent inévitablement et durablement là où elle s’improvise norme.
« Il serait peut-être temps que les UGTGiens arrêtent leur magies syndicales et fondent un parti politique, proposent un vrai programme économique - basé sur autre chose que “fwansé déwo” - et se soumettent leurs poulains à l’épreuve des urnes. »
Un texte de Jacky DAHOMAY (L’UGTG : organisation macoutiste antidémocratique et fascisante) suivi d’un "témoignage" de quelq’un se présentant comme un "skipper "...