Meeting lundi 06/02/2023 à 19h au Palais de la Mutualité
Publié le 5/02/2023
Meeting d’information jeudi 10 mars 2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
Meeting d’information mardi 8 mars2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
Sanblé lundi 14 février 2022 -18 h douvan Simityè Moul
Publié le 10/02/2022
Sanblé samedi 12 février 2022 à 9 h douvan lanméri Polwi
Publié le 10/02/2022
Oui, acteurs de la société guadeloupéenne - présidents des collectivités, journalistes, membres de la société civile, militants qui doutent, représentants de l’Etat, Collectif LKP - vous nous posez un problème... Profiter de chaque mini désaccord pour alimenter des polémiques sans fin n’est surement pas la bonne méthode. C’est l’opposition des idées qui nous permettra d’avancer, pas le choc des émotions.
Nul besoin pour une partie du peuple d’envahir le "parlement" s’il n’était dépossédé de la souveraineté par ceux qui confondent mandat et pouvoir. Aussi suis je pour un arrêt des appels d’un paternalisme moralisateur affligeant. Alors de grâce, cessons les appels ne s’adressant qu’à nos propres ego, et travaillons plutôt à créer les conditions d’un débat populaire.
Je crains que ce type de comportement alarmiste [La dramatisation excessive d’un fait banal : l’envahissement du Conseil général] sous-entende que les nègres colonisés doivent prendre plus soin que des citoyens normaux d’un vêtement emprunté que serait la démocratie. Il leur faudrait mener leur vie politique comme on marche sur des œufs, avec l’œil bleu de Schœlcher qui les surveille en permanence de Là-Haut.
S’il est incontestable que les élus tiennent leur légitimité des urnes, on peut leur rappeler qu’ils sont révocables, qu’ils ont précisément des comptes à rendre au peuple, non ? Que l’exercice du pouvoir en démocratie repose sur des mandats et donc sur des fonctions électives, que ce n’est pas un métier. Peut-on rappeler à messieurs Gillot et Lurel que la chose publique n’est pas leur propriété ? Que l’hyperpersonnalisation du pouvoir est inconvenante. Qu’on ne peut pas toujours être en campagne pour sa réélection, entretenir des clientèles, jouer sur tous les tableaux...
Au cours des quatre dernières années plus d’une centaine d’occupations des Conseil général et régional se sont déroulées en France. Pas une fois, nul n’a songé à les qualifier de coup d’état, de putsch et autres amabilités sorties tout droit de la bouche rageuse de politiciens corrompus jusqu’à la moelle par les miettes de pouvoir que l"état colonial a daigné leur octroyer.
Christophe Barbier laisse s’exprimer son mépris de ces peuples qui ont survécu au plus grand fléau initié par l’homme blanc, la déportation et l’esclavage des nègres d’Afrique, qui vivent cependant sans haine de l’homme blanc, mais qui voudraient que définitivement, les rapports sociaux dans leurs pays respectifs ne soient plus basés sur des questions de classes et de races.
Au bout des petits matins des 2O janvier & 5 février 2009, des milliers d’âmes négresses ont entamé la longue marche contre la pwofitasyon... Au petit matin du 17 avril 2009, nous saurons que durant toutes ces semaines « Notre doctrine, notre idée secrète, c’était : « Nègre, je suis et, nègre, je resterai. »
REPAREZ ET PARTEZ ! Annoncez que la France renonce à sa colonie martiniquaise, inscrivez notre pays sur la liste des territoires à décoloniser, prenez l’engagement de nous restituer, en espèce sonnantes et trébuchantes, les fortunes faites avec la sueur et le sang de nos ancêtres et laissez nous assumer notre destin de peuple et d’hommes libres.
Médecine traditionnelle destinée à soigner l’ego boursoufflé d’un ruminant anti LKP : JORF n°279 du 2 décembre 1994 - Par décret du Président de la République en date du 25 novembre 1994, M. Lesueur (Alain), administrateur civil, est radié du corps des administrateurs civils à compter du 22 juin 1994.