KONFERANS, LYANNAJ é MEETING èvè Lé REZISTAN - Jeudi 27 Juin 2024
Publié le 24/06/2024
Meeting Solidarité KANAKY mardi 11 juin 2024
Publié le 10/06/2024
Meeting lundi 06/02/2023 à 19h au Palais de la Mutualité
Publié le 5/02/2023
Meeting d’information jeudi 10 mars 2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
Meeting d’information mardi 8 mars2022 à 18h30
Publié le 6/03/2022
Le 18 mars 2010, le tribunal mixte de commerce de Pointe-à-Pitre prononçait la liquidation judiciaire de la société de publication Aurore Presse, gérée par Pierre-Edouard Picord qui depuis mai 2006 louait le titre « Sept Magazine » à « Sept Magazine Communication » (propiété de Jacques Canneval, fondateur de l’hebdomadaire).
Depuis, neuf salariés, journalistes, secrétaire, comptable, maquettistes, commerciaux se retrouvent sans emploi, sans revenus, alors qu’ils ne sont pas licenciés !
COMMUNIQUE DE PRESSE :
LES SALARIÉS DE "SEPT MAGAZINE" EN ONT ASSEZ !
Les anciens salariés de la société Aurore Presse (gérée par M. Pierre-Edouard Picord), syndiqués à L’UTT-UGTG tiennent à informer les Guadeloupéens de la situation rocambolesque et désespérante dans laquelle ils sont plongés depuis la liquidation judiciaire d’Aurore Presse (18 mars 2010). Laquelle éditait le titre "Sept magazine" et l’exploitait en location-gérance.
Depuis sa fermeture, les salariés n’ont pas été licenciés mais renvoyés au propriétaire du fonds de commerce "Sept Mag Communication". Or, à ce jour, celui-ci n’a ni locaux, ni activité.
Depuis un mois et demi, les salariés sont donc sans activité et sans revenus.
Les salariés dénoncent :
le temps pris pour régler leur situation et la lenteur des procédures administratives ;
l’indifférence totale de l’ancien gérant d’Aurore presse, du liquidateur judiciaire en charge du dossier et de l’actuel propriétaire du titre face à la détresse psychologique et financière des salariés.
Les salariés exigent :
le versement de leurs salaires de mars dûs par Aurore presse et d’avril dû par le propriétaire de la société Sept Mag Communication.
la fin de leur calvaire par une résolution rapide de leur situation.
Liquidation, transfert, non-versement des salaires... : TRAVAYÈ AN LARI LA, TRAVAYÈ KA SOUFÈ. FO ARÉTÉ SA !
UTT-UGTG, 3 mai 2010